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Quelques pages d'un autre livre ouvert...
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29 janvier 2007

Ces oursons que je cache

Ourson2Dans un coin de ma chambre, il y a un panier. En face de mon lit. Ce panier est la résidence de quelques oursons de peluche. Ces oursons appartiennent à différentes époques et le plus vieux a le même âge que moi, à quelques jours de différence. Le plus récent a à peine quelques semaines.

Ces oursons se serrent un sur l'autres. Par obligation, car je ne sais si cela serait leur choix. Ils ont tous un nom, mais je ne le dis pas à beaucoup de gens. Certains noms semblent étranges. Ils ne furent jamais renommés. Ils ont tous le nom qui leur fut donné à leur arrivée chez moi. La plupart sont Montréalais, d'autres Français, il y a un Berlinois.. Ils sont tous des espagnols présentement. Pour la plupart des gens qui observent le panier, c'est simplement un rassemblement d'oursons - amalgame de souvenirs d'enfance, de cadeaux et d'une certaine affinité pour les oursons.

J'ai un autre panier avec d'autres animaux en peluche. Il est un peu plus caché. Ils semblent un peu oubliés, mais ils sont aussi importants. Je les évoquerai peut-être un autre jour. C'est que les oursons sont différents. Il est vrai que ce sont une représentation de souvenirs d'enfance... de cadeaux que j'ai reçus au fil des années... et d'un attrait pour les ours en peluche...

Mais pour ceux qui se penchent un peu plus, qui approchent leur oreille duOurson1 panier, ils pourront peut-être percevoir ces murmures que j'entends parfois. Des échos de ce qu'ils ont entendus, des réponses chuchotées. Ils ont une force extraordinaire qu'il n'est pas possible de voir si on accepte pas l'imaginaire.

Toujours aimé, les animaux de peluches, de toutes sortes et de toutes couleurs. Comme tant d'enfants... Ces animaux appelés indistinctement "nounours", encore aujourd'hui, ont peuplé ma chambre pendant tant d'années. Quelques uns furent donnés, mais certains ne m'ont jamais quittés... Certains savent tout de moi. D'autres que quelques épisodes. C'est classique. Qui n'a pas raconté sa vie à ses êtres de peluche ? Probablement beaucoup de gens... mais beaucoup d'autres ont laissé leurs émotions coulées sur leurs peluches. Des larmes, des rires, parfois même des coups... ils ont servi à éloigner les fantômes, permis d'être en mesure de faire comme si tout allait bien, car ils gardaient pour eux ce qui n'allait pas...

Mais les oursons de ma chambre ont appris à comprendre et à entendre sans qu'on leur demande. Et parfois, c'est uniquementOurson3 une question de goût pour les oursons en peluche... une histoire de collection, un rêve d'avoir ces objets magnifiques et peut-être un jour un authentique antique teddy bear... mais il serait enfantin de ne pas avouer que ces présences ont une importance impossible.

Ce soir... je suis en colère. Ce soir... je me sens blessée... et je n'ai pas honte de parler de ces objets. Mais ces objets possèdent une vie que je ne peux décrire. Je n'ai pas toujours la force de me laisser aller. Mais ils n'ont pas besoin que je m'ouvre... ils viennent à moi sans que j'ai besoin de les appeler. Évidemment, c'est une illusion. Évidemment, je suis une adulte qui n'a pas besoin de ces objets pour se lever et marcher. Mais parfois dans le noir de mes rêves, je laisse l'imaginaire me parler tout doucement et me raconter de belles histoires... Il était une fois...

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28 janvier 2007

Et un château à ma fenêtre

Ce soir il n'est pas là. Cela lui arrive parfois. Et il me manque lorsqu'il s'absente. Car habituellement, il y a un château à ma fenêtre. On le voit au loin sur la montagne. On le voit le jour, mais je l'aime particulièrement la nuit. Il est alTibi2ors tout illuminé de cette lumière jaunâtre que l'on voit parfois dans les films ou sur les photos. On le voit au loin, jaune et brillant. Parfois dans les couchers de soleil, il prend des teintes étranges. Et parfois la lune vient presque le toucher. Et il ressemble au château de Cendrillon. C'est la première chose qui m'est venue à l'esprit lorsque je l'ai vu tout illuminé pour la première fois. "On dirait le château de Cendrillon". Le château de Cendrillon dans la version Walt Disney de la chose, évidemment !

Et pourtant, je ne pense pas qu'il ressemble vraiment au château de Cendrillon. Il faudrait que je vérifie. Peut-être ressemble-t-il à un tout autre château. Un château réel. Mais c'est l'impression que j'ai chaque fois que je le regarde, chaque fois que je perds mon regard sur la montagne. C'est ainsi que je le présente lorsqu'on l'aperçoit de ma fenêtre. "C'est quoi qu'on voit sur la montagne là-bas?" "C'est le château de Cendrillon"...

Il ressemble peut-être au château de Cendrillon, ou peut-être ne lui ressemble-t-il pas du tout... Et pourtant. Ce n'est pas du tout un château. Sur le haut du Tibidabo que je vois de ma fenêtre, il y a une église. L'Église du Sacré Coeur de Barcelone. Une église bien ordinaire tout au haut de sa montagne. Et comme son homonyme de Paris, elle est relativement récente, et assez décevante. Construite au début du siècle, entre 1902 et 1962, elle possède une fameuse statue du Sacré Coeur sur sa cîme - une création de Josep Miret Llopart

Tibi1À ses côtés, il y a un parc d'attraction... des manèges, des jeux, une grande roue... elle aussi illuminée. Parfois, on voit aussi, la nuit, les lumières du funiculaire qui conduit à l'église et aux manèges... Et on voit, la tour des communications, la Torre de Collserola, de 288 mètres, qui fut ajouté au tableau -selon les plans de l'architecte britannique, Norman Foster, pour les jeux olympiques de 1992. Quelques sentiers sont parfois aussi illuminés sur ce mont de 512 mètres... le plus haut pic de la  sierra de Collserola qui fait partie de la Cordillière litorale catalane et qui fut aménagé en parc de 8 465 hectares, en 1987 - le Parc de Collserola - pour le préserver et protéger.

Le Tibidabo a à ses pieds la ville de Barcelone d'un côté, la dépression du Vallès de l'autre côté, et il a deux rivières qui le bordent: le Besos et le Llobregat. Il s'est d'abord appelé Collserola au Moyen-Âge. Il prit le nom de Tibidabo plus tard, ce nom signifiant en latin "je te donnerai"... mais je ne suis pas très bonne en latin, donc je ne fais que répéter ce qu'on m'a dit. On m'a aussi dit que l'origine du nom viendrait de phrases tirées des évangiles de Saint-Mathieu et Saint-Luc. On se serait inspiré de ces évangiles pour nommer le Mont. Pourquoi, je n'en sais pour l'instant pas plus... je ferai peut-être quelques recherches, un jour...

On voit aussi peut-être le musée de la science ou le Planétarium... difficile à dire. Moi, je ne vois que le château de Cendrillon... Et qui vient de s'illuminer !!! À l'instant... pour éclairer un peu ce texte... pour me permettre de rêver un peu... Car je ne vois pas l'église sur sa montagne, je vois un château de lumière qui brille à ma fenêtre.

EDIT: Pour en savoir plus sur le château de Cendrillon de Walt Disney, lire ce billet  Le château de Cendrillon ;)

24 janvier 2007

Le Château de Chenonceau

Lors d'un voyage que j'ai fait récemment en France, j'ai pu visiter ces châteaux dont on entend tellement parler. Tellement... qu'on a parfois l'occasion que cela ne vaut plus la peine d'y aller ! C'est tellement touristique, si connu, si visité... cela en est presque honteux.

Mais j'aime l'histoire, j'aime voir les endroits sur lesquels j'ai lu et je me moque des racontars et des bien-pensants... Et j'aime voir par moi-même si cela en vaut la peine ou non. Si cela en vaut la peine pour moi... Et donc, nous nous sommes dirigés vers la Loire... cet endroit qu'on Chateau1nomme en levant les yeux... vous savez ces châteaux trop "in". ;)

Premier château de notre visite dans cette fameuse région, et c’était une fantastique introduction. Nous en avons visité plusieurs, mais je crois que de l’extérieur, il reste le plus impressionnant par sa construction. Il est construit directement sur le Cher. Le Château de Chenonceau est magnifique et ses jardins également.

Le château de Chenonceau est également appelé le « Château des Dames » à cause des femmes qui ont marqué son histoire. Construit entre 1513 et 1521 sur les bases d’une ancienne forteresse médiévale – qui avait remplacé un modeste manoir - par Thomas Bohier, receveur général des finances, c’est surtout sa femme Katherine Briçonnet qui fait poursuivre les travaux.

Le château d’alors est beaucoup plus petit. Le château sera cédé au roi François 1er, en 1535 pour payer les dettes que Bohier avaient laissé à sa mort.   En 1547, le roi Henri II va offrir Chenonceau à sa maîtresse Diane de Poitiers, qui fera prolonger le château sur le Cher. Elle fit également aménagé les magnifiques jardins. Elle ne pourra pas terminer son projet, puisqu’à la mort de Henri II, en 1550, la reine Catherine de Médecis oblige la favorite de son époux à échanger Chenonceau pour le château de Chaumont. Catherine de Médecis poursuivra cependant les travaux entrepris selon d’autres plans et donne au château, vers 1580, l’aspect qu’on lui connaît. 

D’autres femmes ont marqué l’histoire du « Château des Dames ». Entre autres,  Louise de Lorraine, épouse de Henri III quichateau2 y demeura en portant le deuil de son mari. Lorsque le château fut acheté en 1733 par un fermier général, sa femme, Louise Dupin y tint un salon où Voltaire, Rousseau, Marivaux et Montesquieu se rendirent régulièrement. En 1864, une autre femme, Marguerite Pelouze, devint la propriétaire des lieux.

Autres noms de femmes qu’on associe au château : Marie Stuart qui y épousa le dauphin François, qui à la mort de son père devint le roi François II , Marguerite de France, Marie de Médicis, Élisabeth d'Autriche et Élisabeth de France.

L'histoire du Château est évidemment très longue et fort intéressante. Plusieurs sites et livres nous proposent l'histoire de Chenonceau et de ceux qui y sont passés.

En 1913, Henri Menier l'acheta et encore aujourd'hui, le château appartient à ses descendants. C'est donc une propriété privée que l'on visite.  Son histoire contemporaine est surtout marquée par son utilisation comme hôpital pendant la Première Guerre mondiale, et par le fait que lors de la Deuxième Guerre Mondiale, il était situé sur la ligne de démarcation entre la zone occupée et la zone libre.

Nous avons malheureusement dû visiter rapidement le château et ses jardins car nous étions en fin de journée, mais ce fut suffisant pour nous donner une vue d’ensemble de ce magnifique site.

Pour arriver au Château, nous devons emprunté une longue allée et nous avons d'abord droit à une vue de face. Le château m'a surpris car il était plus "petit" que je ne l'aurais cru. Mais sa vue de côté, avec le château sur le Cher a tôt fait de me plonger sans son histoire. Je n'ai pas pu faire la longue visite, mais j'ai tout de même pu assez le visiter pour m'imprégner de ce Château des Dames et de leur vie si mouvementée... Je ne l'oublierai pas...                                               

21 janvier 2007

Les archives de Pauline: Aujourd'hui, un anniversaire...

Ton anniversaire. Mais tu n'es pas là pour le célébrer. Tu n'aimais pas trop les anniversaires de toute façon. Tu n'aimais pas la vieillesse. Et tu disais même avoir peur des personnes âgées. Alors tu as préféré ne pas en devenir une. Nous on aimait bien célébrer ton anniversaire. Et trouver la petite chose qui te ferait plaisir tout en te faisant oublier que tu avais une nouvelle année d'ajoutée à ta vie.

Tu rouspétais contre tes rides, contre ton corps, contre tes années. Nous, on les aimait tes rides, ton corps et tes années. TuKM n'as jamais cessé d'être belle. Et ton rire était resté jeune.

Cette année, nous aurions fait un gâteau au chocolat, avec beaucoup de crémage. Ou peut-être aurions-nous opté pour une variété de petits gâteaux - tes préférés. Je t'aurais enfin donné ce disque avec toutes tes chansons préférées. Il y aurait même eu Le loup, la biche et le chevalier, tu sais cette chanson si douce. Ainsi que Deux petits chaussons de satin blanc qui danseraient sur le coeur d'un clown. Et aussi La petite diligence qui sur les beaux chemins de France s'en ira toujours en cahotant. Parce que tu chantais encore et toujours.

Tu aurais eu 67 ans.

4 janvier 2007

Le Mont Saint-Michel

Combien de livres, d'articles, de sites sont consacrés au Mont Saint-Michel ? Il y en a une quantité incroyable... et beaucoup d'entre eux relatent, décrivent, répertorient sûrement bien mieux que moi, l'histoire, les légendes, l'architecture, etc. de cet endroit.

Il y a quelques mois, j'ai effectué un voyage en France... habitant Barcelone, j'ai pu visiter et découvrir de nombreux sites dans le sud de la France.  Depuis quelques années, j’ai eu l’incroyable chance de voir et visiter des lieux dont j’avais entendu parlé, sur lesquels j’avais souvent pu lire… Mais ce voyage nous menait plus vers le haut de ce pays. Et dès les premiers moments où nous avons commencé à planifier ce voyage, dés l’instant où nous avons inclus la Bretagne et la Normandie dans le trajet j’ai commencé à planifier un arrêt important à mes yeux... C’était pour moi un incontournable !!! Le Mont Saint-Michel...

MSM1Le Mont-Saint-Michel faisait, pour moi,  parti de ces endroits que l’on connaît mais qu’on ne pense pas jamais voir de ses propres yeux. Ces endroits auxquels on ne croit pas nécessairement à l’existence… on sait qu’ils existent, mais on garde vaguement l’impression qu’ils n’existent que dans les livres !

Bien consciente que même en cette fin d'été, ce serait sûrement remplis de visiteurs... et que l'endroit était probablement transformé en "trappe à touristes", je voulais tout de même absolument y aller...

La veille de notre visite, nous étions dans une petite auberge, très jolie. J'avais relu quelques passages de livres que j'ai chez moi et visité quelques sites sur le lieu avant notre départ. Et donc, pendant la soirée, je me suis contentée de me préparer mentalement à cette visite. Qu'est-ce que je me souvenais du site... son histoire véritable, son histoire légendaire... et pourquoi, j'avais si hâte de le voir...

Comme je l'ai dit plus haut... une grande partie de moi était incrédule à l'idée que j'allais voir le Mont Saint-Michel. J'ai souvent lu sur ce lieu... des livres à saveurs historiques, ou religieuse... des livres traitant des légendes et des livres à saveur ésotériques. Des livres traitant de Saint-Michel, de l'archange Mikael, du Dragon, du Graal... J'avais déjà trié toutes ces informations selon mes croyances et selon ma raison... ce que je crois être vrai, ce que je crois fiction, ce que je crois légende, les symboles, les mythes... Mais maintenant, qu'est-ce que cela signifiait pour moi, de voir ce lieu.

Il y avait bien sûr, l'excitation à l'idée de voir un lieu de "livres"... un lieu tant commenté, tant décrit, tant analysé... un lieu que je n'avais que lu et vu en photos - des photos d'autres personnes... j'allais voir cet endroit. Comment allais-je réagir ? Excitation, bouleversement ? Me sentirais-je émue, "émotionnée" ?

Et je me préparais aussi à être déçue. J'avais peur d'être décue. Comme je l'ai été souvent... on anticipe, on frissonne, on arrive et c'est beau, c'est correct, mais sans plus. Il y a trop de monde, trop de boutiques... il n'y a rien ou presque rien à voir...

Ou encore j'avais peur de ne rien ressentir. Cela m'arrive parfois. J'arrive sur les lieux, les lieux que je voulais tant voir de mes yeux, sur lesquels j'avais lu... et rien... aucune émotion... aucun pincement de coeur... rien... C'est bien, c'est beau, je comprends les lieux, je suis contente de voir et d'être là, mais rien... Et je ne peux jamais prévoir... j'ai pleuré à Vienne... et j'ai frisonné à Quéribus... mais je n'ai rien ressenti au Mont-Ségur, et je n'ai pas été émue devant Check Point Charlie...

Et donc... comment est-ce que je réagirais au Mont Saint-Michel ? Je me suis levée anxieuse. Énervée et contente. Le trajet vers le Mont fut très agréable, vous savez lorsqu’on se sent à la fois calme mais tout énervé… Un peu de musique de fond dans l'auto. Je ne savais pas quand nous le verrions, mais je regardais de tous côtés.

Et puis, il fut là... Tranquille. Grand. Étonnant. Il était comme dans les livres. Donc pas de surprise mais pourtant, il n'était pas du tout comme je me l'imaginais. Et j'ai frisonné. Une boule dans ma gorge. Nous nous sommes arrêtés sur le bord de la route à plusieurs reprises pour prendre des photos. Mais aussi pour le regarder tranquillement.

Et l'émotion ne me quitta pas... même dans le stationnement rempli... même pendant la marche jusqu'au pied du mont parmi les visiteurs... même pendant la marche dans la rue pour monter au sommet... malgré les nombreux visiteurs (tout de même peu nombreux comparés à d'autres moments de l'année)... malgré les boutiques de souvenirs... malgré les pauvres musées dispendieux et sans intérêt... j'ai gardé cette boule d'émotion...

On peut se sentir déçu de la visite. La visite des bâtiments, de la Merveille, etc. se fait rapidement. Il est facile de comprendre pourquoi certains trouvent qu'il y a peu à voir, à visiter - évidemment on ne voit pas tout -. Mais moi, j'ai vu tout ce que je devais voir. J'ai ressenti les lieux comme il ne m'arrive pas souvent. Et je me suis perdu dans la contemplation du paysage, de la baie, de l'eau et du sable, des roches et des pierres... j'ai vu les légendes, j'ai vu l'histoire. J'ai vu l'archange et le dragon. J'ai vu la lumière et j'ai vu l'ombre.

Et puis, nous sommes redescendus, j'ai regardé une dernière fois avant d'entrer dans l'auto. Je ne sais pas quand je reviendrai... peut-être jamais. Mais ça, ce n'est pas important.

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3 janvier 2007

Que quelques jours...

Et puis les fêtes seront définitevement terminées... Bon ordinairement, quand je demeurais à Montréal, c'étaitbohomme plus théorique que réel ! À part quelques vagues souvenirs d'avoir mangé un gâteau avec une fêve cachée lorsque j'étais très jeune, nous n'avons vraiment jamais réellement célébré les Rois Mages... également connue sous le nom de l'Épiphanie. Mais ici, en Espagne, c'est la fête la plus importante de ce temps des fêtes puisque les enfants recevront leurs cadeaux ce jour et que donc, il y a congé ! Donc, autres repas de familles... bien que j'ai la ferme intention de me cacher pour cette fois !

Et je laisse à l'année prochaine, ma recherche des différentes origines, et façons de célébrer cette occasion...

Pour l'instant, je crois que cette période des fêtes se terminera tranquillement... retirer tranquillement et délicatement les décorations... c'est pratiquement une tâche aussi importante que celle de les placer. Noel1Quelques nouveaux morceaux très importants et pour lesquels je dois trouver la boîte parfaite pour ne pas les abîmer. Aussi trouver de nouveaux rangements pour les décorations que j'ai conservées de ma mère... une boule a brisé pendant le déplacement des boites cette année et cela ne doit absolument pas se reproduire... absolument pas. Il ne m'en reste que si peu...

Et puis, il y a eu la nouvelle année... consommer mes 12 raisins religieusement... puis sortie au Razzmatazz... J'hésitais à sortir. Toujours tant de monde dans les bars au nouvel an. Mais je ne regrette pas, j'ai beaucoup dansé et la musique était plus qu'excellente !

Et une nouvelle année numérique qui commence. Je n'ai pas réellement de croyances personnelles pour une date butoire de nouvelle année, tout ceci est arbitraire, mais bon, on se sent toujours un peu obligé de réfléchir, de penser à ces jours qui ont passé et à ceux qui viennent... Puisqu'il le faut... je ferme les yeux et j'y pense...

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