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30 mars 2014

Le moment captif d'un dimanche : Font des flic(que), flac(que)

2014-03-30"La mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans." [Renaud]

Ne sont-ils pas magnifiques, ces poissons ? J'aime beaucoup les poissons. Et tout ce qui vie dans les mers, les océans, les lacs, les rivières,... dans l'eau. J'adore aller dans les aquariums et voir tous ces différents poissons. Je les trouve fascinants. Je peux passer des heures à les observer.

Je n'ai pas d'aquarium chez moi et je ne suis pas certaine que j'aurais la patience pour vraiment m'en occuper. Car il faut beaucoup de temps, de patience et d'amour pour bien s'occuper d'un aquarium et s'assurer de son équilibre.

La mer me fascine et j'ai même pensé, il y a très longtemps, étudier en biologie marine. La diversité de la vie est incroyable. Et on ignore encore tant de choses sur cette vie. Dans les profondeurs des étangs, des rivières, des lacs, des mers, des océans... encore tant d'inconnus et de mystères.

Et c'est ce qui fait que j'ai une peur bleue de mettre un pied dans l'eau. C'est sombre, mystérieux et pleins de poissons qui gigotent et qu'on ne voit pas !

"Les poissons gigotent -- Les poissons barbotent -- Les poissons vivent dans l'eau." [Cannelle et Pruneau, Passe-Partout]

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28 mars 2014

La gifle de Christos Tsiolkas

LaGifle01La gifle / Christos Tsiolkas ; traduit de l'anglais (Australie) par Jean-Luc Piningre. -- Paris : Belfond, c2011. -- 466 p. ; 24 cm. -- ISBN 9782714446459. 

Quatrième de couverture

Provoquant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing, une révélation dans la lignée d'un Don DeLillo ou d'un Jonatha Franzen.

Lors d'un barbecue entre amis, un adulte gifle un enfant qui n'est pas le sien.

Un incident qui va créer une onde de choc parmi les invités et provoquer une série d'événements explosifs. Mais aussi révéler, derrière les belles apparences, le racisme ordinaire, la drogue, l'alcool, la honte et une extrême solitude.

Tout à tour violent et bouleversant de tendresse, un très grand roman qui dresse, avec une formidable lucidité, le tableau d'un Occident en pleine confusion.

L'auteur

Christos Tsiolkas est né à Melbourne, en Australie, en 1965, d'une famille d'origine grecque. Il obtient un diplôme en Arts en LaGifle021987 de l'Université de Melbourne. Il écrit son premier roman, Loaded, en 1995. En 1998, le roman est adapté au cinéma sous le titre de Head On. Il a gagbé de nombreux pris, notamment pour Dead Europe et The Slap (La Gifle). Aujourd'hui, il est un auteur reconnu, il a écrit de nombreux romans, pièces de théâtre et scénarios pour la télévision et le cinéma.

Bibliographie

  • Loaded (1995)
  • Jump cuts (1996) (avec Sasah Soldatow)
  • Thug (1998) (avec Spiro Economopoulos)
  • The Jesus Man (1999)
  • Who's Afraid of the Working Class? (Théâtre) (1999) (avec Andrew Bowell, Melissa Reeves et Patricia Cornelius)
  • Elektra AD (Théâtre) (1999)
  • Viewing Blue Poles (Théâtre) (2000)
  • Satum's Return (2000)
  • The Devil's Playground (2002)
  • Fever (Théâtre) (2002) (avec Andrew Bowell, Melissa Reeves et Patricia Cornelius)
  • Dead Caucasians (Théâtre) (2002)
  • Dead Europe (2005)
  • Non Parlo di Salo (2005) (avec Spiro Economopoulos)
  • The Slap (2008)
  • Barracuda (2013)

Commentaires personnels

Le roman de Tsiolkas a paru en 2008 sous le titre original de The Slap, il fut adapté pour la télévision australienne en 2011. Le roman comme la mini-série de 8 épisodes connurent un immense succès en Australie. Le roman fut également très populaire à travers le monde et a été nommé et a remporté de nombreux prix.

Disons-le immédiatement, j'ai bien aimé le roman, mais il ne m'a pas emballé. Malgré cela, je le recommande chaudement car je suis certaine qu'il devrait beaucoup plaire. Ceci dit, j'aimerais beaucoup, mais vraiment beaucoup voir la mini-série qui fut réalisée car je vois sans difficulté cette adaptation. Même que je suis certaine que la mini-série me plairait encore plus que le roman.

La prémisse est simple. Lors d'un barbecue entre amis, familles et voisins, un enfant de 3-4 ans, Hugo, complètement insupportable et capricieux se montre aggressif et menace un autre enfant. Devant l'absence de réaction des parents du gamin et des autres adultes, le père de l'enfant menacé va gifler Hugo. Et c'est cette gifle qui va complètement bouleverser les vies des différents personnages. Les parents du gamin fautif - car il faut souligner que Hugo est mal élevé, difficile, criard, gâté et vraiment, mais vraiment insupportable, mais est-ce la faute du gamin ou des parents ? - vont porter plainte contre Harry, le père ayant giflé leur fils, pour coups et blessures.

La gifle de Tsiolkas est un roman choral. C'est-à-dire que nous allons avoir à tour de rôle le point de vue de différents narrateurs, et donc des différents personnages. Nous commencerons par la perspective de Hector, l'hôte du barbecue et qui nous racontera l'incident. Puis, chaque chapitre, nous propose le commentaire d'un autre personnage et la suite des événements. Ce qui permet d'avoir différentes voix, et surtout différentes visions de la gifle et de ses conséquences et répercussions.

Voilà. Je ne suis pas hyper fan des romans choraux. Et certains personnages m'ont agacée au plus haut point. La plupart des protagonistes sont franchement désagréables. Et donc l'auteur a réussi à provoquer en moi de fortes réactions émotives. Il faut dire que la prémisse, la fameuse gifle, vient nous chercher. On est rarement neutre face à un tel geste. Voyons voir... voici un exemple des sentiments que j'ai vécu au long du roman... L'enfant était incroyablement insupportable, gâté, mal élevé et se montrait une menace pour un autre. Les parents ne faisant rien, je serais aussi intervenue pour protéger mon enfant. Aurais-je donné une gifle ? Peut-être pas, mais l'émotion peut intervenir. Le fait que les parents du giflé poursuivent le gifleur m'a énervée au plus haut point, car je sais que cela arrive trop souvent. Les gens n'ont rien de mieux à faire que poursuivre les autres pour des insignifiances. Les réactions des autres personnages face au geste et à la poursuite m'ont aussi énervée. Et surtout, le plus difficile, le gifleur s'avère un "trou d'cul" fini (désolée, mais c'est exactement ce qui m'est venu à l'esprit). Mais les autres personnages ne sont pas bien plus sympathiques. Ce qui ne fait pas un mauvais roman. Car ces personnages, je m'en souviens.

Mais au-delà de la gifle, le roman nous présente surtout des vies et une société australienne. L'auteur critique les défauts du pays dans lequel il vit et qui finalement est le sien. Mais ces défauts sont dans toutes les sociétés : racisme, sexisme, homophobie, misogynie... C'est une vision très froide. Et ma foi, assez pessimiste. Je le répète, presque tous les personnages sont antipathiques et sont présentés sur leur pire jour. Les tensions et les préjugés sont omniprésents. Les apparences se fissurent et face à la gifle et la poursuite, les personnages se positionnent, se déchirent et se dévoilent. Il paraît que le livre et surtout la série a soulevé nombres de débats en Australie.

Mais il demeure que pour moi, un roman purement choral me semble toujours long... Surtout quand la trame narrative se poursuit d'un narrateur à l'autre. C'est difficile à expliquer, mais ça m'achale. Ceci dit, je le répète, j'ai tout de même bien aimé le roman. Je sais, c'est paradoxal. Sur le coup, tout m'a énervé et ma lecture m'a paru s'éterniser. Mais en rétrospective, je le recommande !

Extrait

« Voilà, ce qu’étaient finalement l’amour, son allure son essence une fois disparus la luxure, l’extase, le danger, l’aventure. Il reposait avant tout sur la négociation, sur deux individus qui acceptent les réalités sales, banales et domestiques d’une vie partagée. Cet amour-là assurait une forme de bonheur familier. Toute alternative était probablement impossible, inaccessible et il valait mieux renoncer à l’inconnu. »

Source à consulter

23 mars 2014

Le moment captif d'un dimanche : itinéraire

2014-03-09"La mémoire, c'est comme une valise. On met toujours dedans des choses qui ne servent à rien." [Walter Prévost]

Des objets trouvés et rassemblés. Une valise inconnue dans une vente de garage sur le terrain d'une église anglicane à quelques coins de rues. Un ourson d'une jolie boutique d'un petit village alsacien. Un livre d'un antiquaire du Vermont. Une chaise, qui a une jumelle dans une autre pièce, d'un antiquaire des Cantons de l'Est.

La valise renferme des souvenirs qui me sont inconnus. Elle garde ses secrets. Et m'oblige à imaginer des voyages mystérieux. Qu'a-t-on mis dans cette petite valise bleue. Elle me rappelle de vieilles valises qu'utilisaient mes parents. C'était bien avant les valises à roulettes. Une époque où il fallait tenir sa valise dans sa main. Ou à deux mains quand elle était trop lourde. On n'y mettait que les choses essentielles. Est-ce que j'oublie quelque chose ? Ai-je tout mis mes souvenirs dans ma valise ?

Je m'assois sur la chaise. Elle est vieille. Va-t-elle supporter mon poids ? C'est que je suis pleine de souvenirs. Ma mémoire n'en peut plus. Elle me dit d'oublier certaines choses. Je lui offre de ne rien oublier mais de mettre mes souvenirs de voyages dans la petite valise. Ils seront bien au chaud. Ils s'y sentiront chez eux. Et ils seront protégés par petite dame ourson. Elle est féroce, la dame. Elle gardera les souvenirs de mes voyages. Elle sera vigilante. Sa seule distraction sera la lecture de cet énorme livre. Une page à la fois. Pour qu'elle voyage un peu elle aussi. Ne dit-on pas que sur une chaise avec un bon livre, on peut faire mille voyages ?

"À quoi bon bouger, quand on peut voyager si magnifiquement dans une chaise ?" [Joris Karl Huysmans]

16 mars 2014

Le moment captif d'un dimanche : hors saison

2014-09-13«Now when you pick a pawpaw -- Or a prickly pear -- And you prick a raw paw -- Next time beware -- Don't pick the prickly pear by the paw -- When you pick a pear -- Try to use the claw» [Jungle Book]

À l’épicerie, on en trouve ici presque toute l’année. Mais je sais bien que la récole, normalement, se fait de septembre à décembre. Du moins en Espagne. Ailleurs, je ne sais pas, il faudrait que je fasse quelques recherches.

Mais quand je les passe dans leur étalage de mon épicerie, je ne peux que sourire. C’est que je me souviens. Je me souviens la première fois que j'ai vu ces fruits rougeâtres. En fait, je n'en croyais pas mes yeux. Déjà, qu'il y ait des cactus à Barcelone m'émerveillait, mais qu'en plus, ceux-ci produisaient ces boules rouges que je n'avais vu que dans les épiceries, alors là, ça m'a complètement époustouflée ! Il y a des fruits ou des légumes comme ça, qu'on a toujours vu que sur un étalage de commerçant. Je me souviens encore de la première fois que j'ai vu des oranges, des citrons ou des poires dans un arbre. Quelle surprise !

Mais ces fruits de cactus m'apparaissent encore plus étranges qu'une orange ou un citron. Ces bizarres de fruits rouges tout pleins de points noirs - qui bien sûr se trouvent à l'endroit où on a enlevé les épines. Et puis, c'est aussi dans ces moments-là qu'on s'aperçoit de toute l'étendue de notre ignorance. Et du peu de curiosité qu'on a parfois ! Car bien que je voyais dans les épiceries ces fruits à points noirs - je le répète car c'est ce que je voyais - je ne me suis jamais questionnée sur leur provenance. Alors de découvrir qu'ils poussaient sur des cactus, qu'ils avaient des épines (et non seulement des points noirs), et qu'il y en avait un peu partout en Espagne, et bien disons que ça m'a un peu traumatisée ! Et puis, disons aussi que le fait qu'il y en avait partout, poussant à l'état sauvage, sur le bord des autoroutes même, alors qu'à l'épicerie ils les vendaient un prix de fou, alors ça, ça m'a fait bien rire.

Je ne me souvenais pas du nom qu'on leur donnaient dans les épiceries, alors j'ai cherché un peu. J'ai rapidement trouvé le nom de "figue de barbarie". J'ai trouvé cela sympathique et cela a bien éveillé quelques vagues souvenirs. J'ai trouvé aussi le nom de "poires de cactus". Et je me suis sentie un peu triste pour ce pauvre opontia dont les fruits n'avaient pas un nom bien à lui, figue de barbarie, poire de cactus, pfff. Et puis, c'est alors que ça m'a rappelé une chanson d'un vieux film de Walt Disney et un gros ours dansant et expliquant en chantant comment cueillir des poires piquantes sans se piquer ! Je sais pas pourquoi mais ça m'a fait bien rire de m'apercevoir que, finalement, je connaissais ces fruits piquants depuis mon enfance !

« Dans leurs sourires, il y a des cactus -- Dans leurs ventres, il y a des cactus -- Dans leurs bonjours, il y a des cactus -- Dans leurs cactus, il y a des cactus » [Dutronc et Lanzmann]

3 mars 2014

Dans la nature... l'Ecomuseum

001Je l'ai déjà dit, parfois, on connait plus les autres pays que son propre pays. Et on visite de fond en comble les villes situées "ailleurs". Parce qu'on croit connaître sa ville de fond en comble. Mais on ne connait habituellement pas vraiment sa ville. Je pensais connaître Montréal avant de partir pour Barcelone. Mais je ne la connaissais pratiquement pas. Je ne connaissais que quelques coins. Et surtout, avant de partir, j'avais l'impression qu'il n'y avait rien à connaître.

Quand nous sommes revenus, je l'ai déjà dit, nous avons acheté des guides touristiques sur le Canada, le Québec et Montréal. 003Et là, j'ai réalisé qu'il y avait un million d'endroits de ma ville que je ne connaissais pas. La plupart des endroits que nous visitons, nous avons découvert grâce aux guides, mais aussi grâce aux blogues d'immigrants au Québec. Et oui, ce sont les autres qui nous ont pointés vers les endroits magnifiques de la ville où je suis née.

J'aime les animaux et je recherche les endroits où je peux les voir. J'aime évidemment les endroits où, même si ce sont des endroits "fabriqués", les animaux sont bien traités. J'ai visité un tas de parcs animaliers un peu partout, récemment j'ai parlé un peu du Parc Oméga. Mais tous ces endroits sont à l'extérieur de ma ville. Évidemment. Il faut de l'espace pour faire un parc animalier, non ? Il y a bien le Biodôme, mais c'est un espace intérieur. Et j'ai quelques souvenirs du zoo Le Jardin des Merveilles qu'il y avait au Parc Lafontaine, mais c'était un zoo urbain et il fut démantelé en 1989, je crois (tiens, il faudrait que je fasse quelques recherches sur ça...).

002Et donc quand j'ai lu sur un blogue qu'il y avait un parc animalier sur l'Île de Montréal, je ne le croyais pas. Et puis, je me suis rappelée que si je ne connaissais pratiquement pas Montréal, je connaissais encore moins l'Île. Après tout, avant d'emménager à Pointe-Claire, j'avais l'impression que c'était tellement loin... Non, je ne connaissais pas ma ville, ni mon Île. Et l'Île de Montréal est grande. Si grande, que j'ai appris récemment qu'il y avait des chevreuils dans l'est de l'Île dans le parc-nature de Pointe-aux-prairies. J'ai même eu la chance d'en voir à quelques occasions.

Quelques recherches plus tard, j'avais la localisation de l'Ecomuseum et quelle surprise, ce n'était pas très loin de chez moi. Mais j'avais tant de questions. Comment ne pouvais-je pas savoir qu'il y avait un parc animalier sur l'Île de Montréal ? Sûrement qu'il n'existe que depuis quelques années ! Sinon, je l'aurais connu ! Et non... il existe depuis plusieurs années. Mais comme je pensais connaître mes environs, comme l'ouest de l'île m'apparaissait être à des milliers de kilomètres... et surtout comme je ne lisais rien sur ma ville... j'ignorais complètement l'existence de l'Ecomuseum et toute son histoire. J'ai dû remédier à la situation immédiatement ! Et j'ai visité le parc plusieurs fois, en été et en hiver !

Quelques informations pratiques...004

Le parc animalier Ecomuseum est situé dans l'ouest de l'Île de Montréal à Sainte-Anne-de-Bellevue. Il est ouvert 364 jours par année de 9 h 00 à 17 h 00. Il ne ferme que le 25 décembre. On peut donc visiter le parc et voir les animaux en toute saison, il y a donc parfois des animaux en hibernation et qu'on ne verra pas pendant l'hiver mais d'autres seront plus actifs selon la saison. Par exemple, lorsque j'y suis allée en hiver, je n'avais pas pu voir les ours, mais le renard arctique était en pleine forme. Alors qu'en plein mois de juillet, le pauvre renard arctique était caché sous des buissons et semblait avoir bien chaud. C'est donc une nouvelle visite à chaque fois.

005En 1981, le Dr. John Bider fonde la Société d'histoire naturelle de la vallée du Saint-Laurent qui a pour mission principale d'éduquer les enfants sur l'environnement. Il choisit un terrain dans la pointe ouest de l'île de Montréal pour y installer un zoo extérieur. Le Dr. Bider veut restaurer ce terrain qui avait déjà été un milieu humide mais était depuis longtemps utilisé comme une décharge, particulièrement dans les années '60 lorsque l'autoroute 40 fut contruite dans l'ouest. En 1988, le zoo Ecomuseum ouvre ses portes. Le parc est bien modeste à ses début mais le docteur est déterminé et grâce à son travail et à celui du comité fondateur, du personnel et des bénévoles, il réussit à créer un lieu unique - organisme sans but lucratif - dédié à l'éducation, la recherche et à la protection de l'environnement.

Le parc n'a jamais cessé de grandir et d'évoluer. En plus d'être ouvert au public, il propose nombres d'activités éducatives pour les écoles et les enfants. Certains locaux sont aussi réservés à la recherche et aux soins animaliers. Notons que c'est en 1996 que l'Ecomuseum commence à ouvrir l'hiver, pour offrir 364 jours au public.

006Le parc, aménagé sur 11,3 hectares, propose un parcours extérieur et quelques installations intérieures. Il nous présente plus de 115 espèces d'animaux vivants, tous provenant de la vallée du Saint-Laurent : aigles, hiboux, corneilles, canards, renards, loups, coyotes, ours noirs, loutres, caribous, porc-épic, grenouilles, et bien d'autres. Dans la zone intérieure, "Du jour à la nuit", on peut voir des couleuvres, tortues, poissons, etc.

2013 a été une triste année pour l'Ecomuseum puisqu'il a perdu ses trois ours. Homer, le mâle a dû être euthanasié en octobre et les deux femelles, Suzie et Marge, en décembre. Les ours emblèmes du parc étaient très âgés et étaient malades. Ce fut très difficile pour les employés et les visiteurs du parc.

Quelques liens à consulter...

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